Cuisine : électricité, enduits, et peinture !

Bonne année à tous mes lecteurs ! Oui, je sais, je n’ai pas beaucoup écrit ces derniers temps… mais ne vous inquiétez pas, il y a du nouveau. Les vacances de la Toussaint n’ont pas été très productives, la faute au Covid 😑. Les travaux nécessaires à la finalisation des murs ont donc été faits petit-à-petit, sur novembre et début décembre. Avec la date fixée pour la livraison de la cuisine, pas question de prendre de nouveaux retards !

Électricité

Maintenant que nous avons le plan technique du cuisiniste, Philippe peut faire les derniers ajustements pour placer les dernières prises électriques. En particulier : déplacer légèrement l’alimentation de l’éclairage du plan de travail (qui change de mur), ajouter une alimentation pour la hotte, positionner les prises déjà prévues pour le four et le petit électroménager. Nouvelles saignées, nouveaux enduits.

Nouvelle couche d’enduits, donc, sur ce mur — qui ne sera jamais parfait, puisque nous prévoyons d’y mettre des meubles du sol au plafond.

Si vous vous demandez d’où vient cette couleur vert d’eau, c’est parce que la cuisine est faite entièrement avec des plaques de plâtre et des enduits hydrofuges. Le jaune pâle, c’est l’ancienne peinture, là où on n’a pas eu besoin d’enduire.

Peinture

Les enduits, c’est pénible, et ça ne sera jamais parfait. On fait une première couche de primaire sur les murs. Elle sert de révélateur pour quelques imperfections. On utilise toujours la même depuis le début, puisqu’elle est bien : le primaire Algo Pro, qu’on commande en général sur l’univers du peintre.

Chose curieuse, il y a des endroits où la peinture s’écaille, malgré l’enduit qui recouvre l’ancienne peinture et devrait donc assurer l’accroche. On commence à gratter… découvrant une forme géométrique sur le mur, comme si des niches avaient été bouchées avec des plaques de plâtre (ou autre). Une simple différence de matériau, et c’est l’ancienne peinture qui se détache ! On gratte donc un maximum, avant de refaire une légère couche d’enduit pour rattraper.

C’est l’occasion de faire des retouches un peu partout, notamment au plafond, où la couche de primaire met en évidence quelques creux. Petit truc : on colore légèrement l’enduit pour ne pas avoir à chercher où repeindre !

On fait quelques retouches aussi dans mon bureau, puisque le mur avait un peu souffert quand on a installé les meubles (je passe les photos, sans grand intérêt).

Pour revenir à la cuisine, nous avons décidé de mettre 2 couleurs, comme dans mon bureau. Niveau couleur, on reste dans les tons blanc/beige, avec une couleur type « lin » : le beige Ténéré-1842 de 1825 pour être exacte. Pour changer un peu la configuration, nous laisserons le mur Est en blanc, et feront les 2 autres murs Sud et Ouest/verrière en beige, ainsi que la cheminée. Le quatrième mur, je rappelle, est recouvert par les meubles, mais il sera peint en blanc aussi.

C’est Philippe qui fait pratiquement toute la peinture de la cuisine… qui devient toute blanche, une fois que le primaire est appliqué partout, et la peinture blanche sur les deux murs nord et est. On voit la différence entre blanc-primaire et blanc, non?

Enfin, la cuisine prend de l’allure avec la peinture de couleur. On n’a pas passé des heures à choisir notre beige, mais aucun regret, ça rend bien. On verra ce que ça donne à côté des meubles, mais avec les nuances de beige, je n’ai pas trop peur. C’est amusant de voir le changement de teinte avec/sans lumière artificielle.

Après le mur, le sol

Vous avez peut-être remarqué, mais on doit aussi préparer le sol — un joint de mousse expansive permet de boucher les trous avant de couler un petit ragréage, environ 4mm, pour compenser la différence d’épaisseur entre le carrelage (10mm) et le futur parquet du salon (14mm). Philippe bouche aussi les petites fissures qui se sont ouvertes au séchage du ragréage précédent. Rien de grave, ce n’est pas structurel, mais nos ouvriers n’avaient pas bien laissé séché la dalle avant de ragréer, et c’est ce qui arrive quand on va trop vite 🤷‍♀️.

Pour la préparation du sol et la pose du carrelage, je vous retrouve au prochain épisode, c’était notre « cadeau de Noël » !

Et sinon ?

C’est l’hiver, il a neigé et c’est l’occasion de tester notre isolation. Après avoir fait l’isolation par l’extérieur, changé les fenêtres et portes, refait l’isolation du toit… nous avons constaté une baisse de notre consommation de gaz d’environ 2/3 ! Ça tombe bien, avec la hausse des prix, on arrive à baisser aussi nos dépenses. On n’a pas non plus fait une analyse en détail sur notre utilisation de la maison etc, mais c’est dans tous les cas une bonne nouvelle.

Pas assez de neige pour m’empêcher de venir à vélo non plus, hein…

Par contre, quand la température descend autour de zéro, ça devient un peu difficile de chauffer 🥶, notamment au sous-sol et au rez-de-chaussée, avec chacun un seul radiateur (ou presque, il y a un petit radiateur dans les WC). On arrive à 18° en fin d’après-midi seulement… On espère que ça ira mieux quand on aura remis le radiateur de la cuisine en place 🙂. Vu que ça implique une vidange, ça attendra encore, et on testera probablement ça l’hiver prochain.

Quant à savoir ce qui survivra du jardin, ça, on aura la réponse au printemps. J’ai planté quelque bulbes qui sortent déjà des feuilles avec le redoux…

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