Encore de l’isolation

Finir l’isolation est la priorité n°1 : non seulement cela nous permettra de nous chauffer de manière efficace, mais cela permettra de commencer à aménager mon bureau pour que je puisse à nouveau profiter de la maison pour télétravailler. Et on peut dire que ça avance !

Dans la chambre

Après les deux couches d’isolant, il restait à poser le frein vapeur et les fourrures pour fixer les placoplâtres.

Petite opération préalable : boucher tous les interstices restant avec des chutes d’isolant. On ne veut pas laisser le moindre passage à l’air ! Alors qu’on essayait au départ de faire les découpes proprement à la scie, on se rend compte que pour le rebouchage, déchirer les chutes à la main est beaucoup plus efficace !

Il faut aussi poser un peu plus d’isolant pour aller jusque dans la salle de bains. Pour que ça passe bien, il faut raboter un bout de la cloison sous le toit. Pour chaque suspente, on prépare le trou dans l’isolant en le perçant au bon endroit avec un tournevis, et en mettant du scotch de peintre pour limiter les déchirures.

Pour poser le frein-vapeur, c’est bien pratique d’être à deux : pour tendre le film, le découper à la bonne taille, le tenir en hauteur etc. Le frein est fixé grâce à des embouts spéciaux qui viennent s’accrocher sur les suspentes, et qui serviront aussi à tenir les fourrures. À chaque jonction, il faut également poser un scotch pour assurer l’étanchéité.

Une fois le frein-vapeur posé, on peut poser les fourrures qui s’accrochent facilement sur les fameux embouts des suspentes, d’un vigoureux coup de poing, ou d’un coup de maillet. Là encore, être à deux est bien pratique, puisqu’on peut plus facilement maintenir les fourrures de 3 mètres en place et se passer le maillet pour les fixer. En moins d’une demi-heure, les 10 fourrures sont posées dans la pièce !

Dans la salle de bain

La sortie de la ventilation ayant été posée, ainsi que la première couche d’isolant, il restait la deuxième couche. Un peu de découpe supplémentaire fut nécessaire pour passer autour du tuyau d’aération. Pour les autres panneaux, c’est toujours la même routine : mesurer la taille et découper le panneau à la bonne dimension, à la scie ; mesurer la position des suspentes et préparer les trous, au tournevis et au scotch ; poser les panneaux. Pendant que Philippe pose un panneau, j’aiguise la scie qui s’use très rapidement. Je monte aussi de l’isolant depuis la salle à manger : ce n’est pas bien lourd, mais c’est assez volumineux et pas très pratique à transporter !

On termine la salle de bains alors que le jour décline, je balade la lampe de chantier avec moi puisque nous n’avons plus d’électricité dans ces pièces. Une bonne journée de travail se termine (c’était le 1er octobre).

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.