Le temps passe trop vite ! Avec un week-end prolongé pour la Toussaint et les vacances, nous avons pu travailler un peu plus et le bureau a complètement changé d’aspect. Il faut que je raconte tout ça, désolée pour le retard ! L’isolant a été posé, mais aussi les placos ! Et l’isolant a aussi été posé dans le couloir, ce qui fait que la maison est maintenant complètement isolée et bien plus facilement chaude.

Isolation du bureau

C’est encore Philippe qui a posé les suspentes et les deux épaisseurs d’isolant. J’avais pris quelques jours pendant les vacances pour pouvoir travailler aussi, et donc le 28 octobre nous avons pu poser le frein-vapeur. Seul problème : nous arrivons à la fin du rouleau de scotch spécial isolant, et il manque les 5 mètres pour coller les deux derniers morceaux…

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Nous refaisons les calculs : pour le frein-vapeur, il devrait y avoir assez pour terminer le couloir… tout juste, en réutilisant les chutes de largeur moindre.

Pour le scotch, on en recommande pour avoir le même, et il faudra donc quelques jours avant de pouvoir continuer. En attendant que le scotch arrive, Philippe peut déjà coller le frein-vapeur au mur, préparer une saignée pour l’électricité, etc.

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Isolation du couloir

Puisqu’on ne peut pas trop avancer dans le bureau, c’est l’occasion d’isoler le couloir. Pour faciliter l’accès, Philippe avait construit un échafaudage avec les poutres des plafonds. Même scénario : suspentes, isolant. Cette fois il a l’aide de notre jeune voisin.

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Truc à retenir, appris tardivement : utiliser la scie spéciale isolant permet peut-être d’avoir une coupe nette, mais il faut toujours aiguiser la lame. En pratique, la scie égoïne est bien plus efficace !

Une fois tout l’isolant posé, une conclusion s’impose : on en avait commandé un peu trop ! Il reste plusieurs paquets même pas entamés… soit on leur trouvera un usage ailleurs, soit on les revendra ?

Aérations

Et puisqu’on isole de façon plus complète, il faut aussi s’occuper des aérations. Il manquait encore une aération pour le chauffage, au sous-sol. Philippe creuse aussi le trou d’aération du bureau. Une tentative par l’extérieur se trouve infructueuse : c’est bien trop instable en haut de l’échelle pour manœuvrer proprement. Il perce depuis l’intérieur.

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Plafond du bureau

Une fois le scotch arrivé, Philippe peut finir de le poser et fixer les fourrures, comme dans la chambre. Sur les deux parties triangulaires sous le toit, deux méthodes sont utilisées : côté fenêtre, il y a assez d’épaisseur pour mettre une structure de fourrures et des plaques de plâtre ; côté intérieur, on se contentera d’une épaisse couche d’enduit sur le mâchefer.

On peut commencer à fixer les plaques de plâtre. Ce qui dépasse de frein-vapeur est découpé.

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Poser les placo-plâtres n’est pas très pratique tout seul, heureusement nous avons l’aide de mon père, puis de notre jeune voisin. Ce dernier passe toute une journée à aider Philippe, ce qui lui permet d’être plaquiste, électricien, et aussi de faire un peu de maths 😄. Avec la nuit qui tombe très tôt, il a fallu rajouter quelques ampoules ici et là pour pouvoir travailler plus longtemps.

Des enduits, encore des enduits

Dans la foulée, c’est la pose des bandes à joint et des premiers enduits… en particulier sur le mur intérieur, qui va en recevoir plusieurs couches.

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Le long week-end du 11 novembre est l’occasion de faire encore des enduits : plafonds, murs, et contours des fenêtres. Après 3 couches d’enduits, le mur intérieur commence à avoir de l’allure.

Autour des fenêtres, il faut couper la mousse expansive et boucher les trous qui restent. On fait le contour avec des bandes à placo, en espérant que ce soit un peu plus net de cette façon.

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Le plus gros est fait. Après un premier coup de ponçage, on pourra commencer à faire les enduits de finition. Même s’il en faudra sûrement plusieurs couches, il faut que je pense à acheter la peinture bientôt !