Le mois de décembre a été plutôt productif. J’ai pu prendre une grosse semaine de vacances pour aider le prof de façon plus poussée. Premier volet.

Enduits

On savait qu’on aurait quelques retouches, notamment autour des fenêtres, mais aussi au plafond. Et en fait, il y avait encore des trous ici et là sur les murs. Mais que voulez-vous, les enduits, ce n’est jamais parfait ! On finit toujours par cogner le mur et refaire un trou 😬. On a donc fait une dernière passe de retouches, puis on s’est dit qu’il fallait vraiment se mettre à peindre.

Nous n’avons pas réussi à couvrir complètement les gaines électriques mal encastrées. C’est lisse au toucher, donc difficile de remettre vraiment de l’enduit. On espère que les couches de peintures suffiront à les faire disparaître !

Avant de peindre : nettoyage du matériel pour les enduits, ponçage, puis lessivage, c’est-à-dire qu’on retire les excès de poussière des murs avec un chiffon humide. Ça évite de retrouver la poussière dans la peinture.

Nous ne regrettons pas d’avoir investi dans une ponceuse girafe. Nous en avons pris une de la marque Menzer, elle peut se brancher sur notre aspirateur et c’est vraiment très très pratique. Il ne reste que les angles et les bords de fenêtre à faire à la main.

Primaire

Nous utilisons la même sous-couche que dans les WC, puisqu’elle était bien. Peinture écolo française tout ça. On soutient notre économie comme on peut 😁.

Notre idée est qu’on repérera mieux les éventuels défauts qui restent après une première couche de primaire. Et effectivement, on n’est pas perfectionnistes, mais on remets encore du super-enduit spécial-super-finition pour récupérer des bouts ici et là. Ça ne demande pas un gros coup de ponçeuse, à la main ça suffit.

Entre 2 couches, plutôt que de nettoyer rouleau, pinceau, et bacs à peinture à chaque fois, nous emballons soigneusement le matériel dans un plastique. Ça marche.

Les murs deviennent tout blancs, et pour être honnête à partir de ce moment on ne fait plus vraiment la différence sur les photos entre les différentes couches. Même pour peindre, il s’agit d’être méthodique, et c’est surtout à la lumière, avec la texture, qu’on fera la différence entre le primaire et la peinture finale !

Préparation de la suite

Naturellement, on va pouvoir passer bientôt à la vraie peinture 🤩. Mais il faut aussi penser à deux-trois autres choses : on peut mettre en place les prises électriques, peindre le radiateur… on vérifie aussi la planéité du sol, qui présente un petit dénivelé, et qu’on veut mettre au niveau de l’entrée avec un ragréage autolissant.

Pour calculer la quantité de béton… on reprend la surface de la pièce, et on calcule qu’il faut environ 8mm par rapport au seuil. Avec un laser et le mètre, on peut mesurer qu’il y a en fait 3cm d’écart entre les 2 bouts de la pièce, mais après réflexion, nous n’allons pas chercher à les rattraper. Ce serait trop compliqué, pour un bénéfice marginal.

Direction Leroy Merlin pour acheter ce qui nous manque : du ragréage autolissant, des plinthes, des baguettes pour le contour des fenêtres et de la porte, ainsi qu’un additif anti-rouille pour le radiateur. Et de la colle à parquet. Et une prise pour le tableau électrique de l’étage, pour nous éviter d’utiliser la rallonge à chaque fois. Et du petit matériel en plus… Ça chiffre vite les courses à Leroy Merlin 🤑 !

Encore un peu de travail en perspective…